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RÉVOLTE À DAVOS. ILS SONT CENSÉS NOUS EXTERMINER MAIS ILS AURONT DU MAL : GO
FUCK YOURSELF DONC KLAUS SCHWAB AND NWO. C’EST À DAVOS QUE ÇA SE PASSE DONC ET
LORD BLOFELD QUITTE FROIDEMENT LA SALLE AVEC SA CLIQUE DE NAZIS ATTARDÉS ET
GLAIREUX. C’EST SIGNÉ DAMON IMANI, UN ARTISTE IRANIEN PERÇANT OF COURSE (VIVE
LES PERSANS DE MONTESQUIEU, HOMMES LIBRES À TRAVERS LES SIÈCLES). PRIEZ POUR CE
PREUX. LES HOUTHIS BIEN OUTILLÉS FONT RECULER LA BÊTE DE L’APOCALYPSE. ON EST
ROUGES DE PLAISIR ET PAS DE SANG. ARRÊTEZ DE CREVER DE TROUILLE AUSSI : ILS NE
POURRONT PAS TOUT CENSURER ET TOUS NOUS TUER. IL Y A DES LIMITES À LA TYRANNIE,
À LA TROUILLE ET MÊME À LA CONNERIE. CAR QUI VA MOURIR OU MÊME TUER SES
ÉLECTEURS POUR KLAUS SCHWAB BOUFFEUR DE BÂCHE ENRAGÉ ? OUF, C’EST UN
FAKE… PRIEZ.

> Conseil de Sénèque aux affolés de Reset, de numérique, de guerre,
> d’apocalypse, de mondialisme, de chasse au carbone et compagnie : « Il y a, ô
> Lucilius, plus de choses qui font peur qu’il n’y en a qui font mal, et nos
> peines sont plus souvent d’opinion que de réalité…Examine d’abord si des
> signes certains présagent la venue du mal, car presque toujours de simples
> soupçons nous abattent, dupes que nous sommes de cette renommée qui souvent
> défait des armées entières, à plus forte raison des combattants isolés… Je ne
> sais comment le chimérique alarme toujours davantage: c’est que le vrai a sa
> mesure, et que l’incertain avenir reste livré aux conjectures et aux
> hyperboles de la peur. Aussi n’est-il rien de si désastreux, de si
> irrémédiable que les terreurs paniques: les autres ôtent la réflexion,
> celles-ci, jusqu’à la pensée (Sénèque, lettre à Lucilius, XIII). »





https://lesakerfrancophone.fr/guerre-contre-gaza-liran-demontre-ses-moyens-dauto-defense

https://lesakerfrancophone.fr/frapper-le-yemen-a-distance-naboutira-a-rien

https://lesakerfrancophone.fr/les-etats-unis-repartent-en-guerre-contre-les-houthis









https://www.instagram.com/damonimani/?hl=es












> Que Dieu se lève et que ses ennemis soient dissipés, et que ceux qui le
> haïssent fuient de devant sa face. Comme la fumée disparaît, qu’ils
> disparaissent de même ; et comme la cire fond au feu, que les démons périssent
> aussi devant la face de ceux qui aiment Dieu et qui se prémunissent par le
> signe de la croix, et disent avec allégresse : Salut, glorieuse et vivifiante
> Croix du Seigneur, qui faites fuir les démons par la vertu de Jésus crucifié,
> descendu aux enfers et vainqueur de la puissance du Satan. Car c’est le
> Sauveur qui nous a donné sa croix précieuse, comme une arme pour chasser tous
> nos ennemis. Ô Sainte Croix du Seigneur,soyez notre assistance conjointement
> avec la Bienheureuse Vierge et tous les Saints. Ainsi soit-il.


Auteur nicolasbonnalPublié le 17 janvier 202417 janvier 20244 commentaires sur
Révolte à Davos. Ils sont censés nous exterminer mais ils auront du mal : Go
Fuck yourself donc Klaus Schwab and NWO. C’est à Davos que ça se passe donc et
Lord Blofeld quitte froidement la salle avec sa clique de nazis attardés et
glaireux. C’est signé Damon Imani, un artiste iranien perçant of course (vive
les persans de Montesquieu, hommes libres à travers les siècles). Priez pour ce
preux. Les Houthis bien outillés font reculer la Bête de l’Apocalypse. On est
rouges de plaisir et pas de sang. Arrêtez de crever de trouille aussi : ils ne
pourront pas tout censurer et tous nous tuer. Il y a des limites à la tyrannie,
à la trouille et même à la connerie. Car qui va mourir ou même tuer ses
électeurs pour Klaus Schwab bouffeur de bâche enragé ? Ouf, c’est un
Fake… Priez.


LE SEIGNEUR. N’AS-TU RIEN DE PLUS À NOUS DIRE ? NE VIENDRAS-TU JAMAIS QUE POUR
TE PLAINDRE ? ET N’Y A-T-IL SELON TOI, RIEN DE BON SUR LA TERRE ?
MÉPHISTOPHÉLÈS. RIEN, SEIGNEUR : TOUT Y VA PARFAITEMENT MAL, COMME TOUJOURS ;
LES HOMMES ME FONT PITIÉ DANS LEURS JOURS DE MISÈRE, AU POINT QUE JE ME FAIS
CONSCIENCE DE TOURMENTER CETTE PAUVRE ESPÈCE. LE SEIGNEUR. CONNAIS-TU FAUST ?
MÉPHISTOPHÉLÈS. LE DOCTEUR ? LE SEIGNEUR. MON SERVITEUR. MÉPHISTOPHÉLÈS. SANS
DOUTE. CELUI-LÀ VOUS SERT D’UNE MANIÈRE ÉTRANGE. CHEZ CE FOU RIEN DE TERRESTRE,
PAS MÊME LE BOIRE ET LE MANGER. TOUJOURS SON ESPRIT CHEVAUCHE DANS LES ESPACES,
ET LUI-MÊME SE REND COMPTE À MOITIÉ DE SA FOLIE. IL DEMANDE AU CIEL SES PLUS
BELLES ÉTOILES ET À LA TERRE SES JOIES LES PLUS SUBLIMES ; MAIS RIEN, DE LOIN NI
DE PRÈS, NE SUFFIT À CALMER LA TEMPÊTE DE SES DÉSIRS (GOETHE, COMME TOUJOURS…)…

Cliquer pour accéder à faust.pdf







Nos textes sur Goethe :

https://lesakerfrancophone.fr/goethe-et-la-regrettable-unification-allemande

https://www.dedefensa.org/article/goethe-et-les-entropies-du-monde-moderne

https://www.dedefensa.org/article/le-mythe-de-faust-et-la-planche-a-billets

> Leçon libertarienne – n°1 – Goethe face aux menaces du monde moderne – par
> Nicolas Bonnal

Auteur nicolasbonnalPublié le 17 janvier 202417 janvier 2024Laisser un
commentaire sur LE SEIGNEUR. N’as-tu rien de plus à nous dire ? ne viendras-tu
jamais que pour te plaindre ? et n’y a-t-il selon toi, rien de bon sur la terre
? MÉPHISTOPHÉLÈS. Rien, Seigneur : tout y va parfaitement mal, comme toujours ;
les hommes me font pitié dans leurs jours de misère, au point que je me fais
conscience de tourmenter cette pauvre espèce. LE SEIGNEUR. Connais-tu Faust ?
MÉPHISTOPHÉLÈS. Le docteur ? LE SEIGNEUR. Mon serviteur. MÉPHISTOPHÉLÈS. Sans
doute. Celui-là vous sert d’une manière étrange. Chez ce fou rien de terrestre,
pas même le boire et le manger. Toujours son esprit chevauche dans les espaces,
et lui-même se rend compte à moitié de sa folie. Il demande au ciel ses plus
belles étoiles et à la terre ses joies les plus sublimes ; mais rien, de loin ni
de près, ne suffit à calmer la tempête de ses désirs (Goethe, comme toujours…)…


INFOS ANTISYSTÈME TOXIQUES, DÉPRIMANTES ET DE TOUTE MANIÈRE INUTILES (MAÎTRE
CORNILLE BAISSE LES BRAS, FAIT CHAMBRE D’HÔTE…) : ON VA AVOIR UNE ÉPIDÉMIE DE
VARIOLE SUIVIE DE TROIS MILLIARDS DE MORTS ET D’UNE TYRANNIE SANITAIRE OMS ; LA
FRANCE EST PLUS PAUVRE QUE L’IDAHO ET LE FRONCÉ CRÈVE DE FAIM ; FIN DU PAYS ET
CRÉATION D’UNE ENTITÉ NAZIE EUROPÉENNE ; ON AURA LA GUÉGUERRE NUCLÉAIRE AVEC LA
RUSSIE AVEC TRANSFERT DE 300.000 SOLDATS FRITZ ET DE 600.000  POLONAIS ETC. ;
TOUTE L’AFRIQUE VA DÉBARQUER ET VOUS ENVAHIR, ETC. NE PAS SAVOIR CE QUI VA SE
PASSER EN SE PRÉPARANT AU PIRE SEMBLE LA MEILLEURE OPTION : SECRET DU GOUROU
CORNILLE (REVOIR L’ADAPTATION PAGNOLESQUE). JE RELIS DE SÉVILLE LES LETTRES DE
MON MOULIN ET LES TROUVE  D’AILLEURS DÉJÀ PESSIMISTES : LE SORT DES MOINES, DES
BERGERS, DU CLIMAT, DES MEUNIERS, DES SOLDATS, DES DOUANIERS…

https://echelledejacob.blogspot.com/2024/01/lagarde-de-la-bce-sur-france-2-la.html

https://echelledejacob.blogspot.com/2024/01/les-virus-qui-menacent-lhumanite.html

https://echelledejacob.blogspot.com/2024/01/fiche-de-paie-de-1985-regardez-la-votre.html#more

https://echelledejacob.blogspot.com/2024/01/lannonce-dune-possible-confrontation.html

https://russiepolitics.blogspot.com/2024/01/lannonce-dune-possible-confrontation.html?m=1

Cliquer pour accéder à daudet-moulin.pdf

> « Maladie X » plus mortelle que le Covid: l’agence sanitaire russe soupçonne
> un coup de com’



https://ok.ru/video/4895338990168

Auteur nicolasbonnalPublié le 17 janvier 202417 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Infos antisystème toxiques, déprimantes et de toute manière
inutiles (maître Cornille baisse les bras, fait chambre d’hôte…) : on va avoir
une épidémie de variole suivie de trois milliards de morts et d’une tyrannie
sanitaire OMS ; la France est plus pauvre que l’Idaho et le froncé crève de
faim ; fin du pays et création d’une entité nazie européenne ; on aura la
guéguerre nucléaire avec la Russie avec transfert de 300.000 soldats fritz et de
600.000  polonais etc. ; toute l’Afrique va débarquer et vous envahir, etc. Ne
pas savoir ce qui va se passer en se préparant au pire semble la meilleure
option : secret du gourou Cornille (revoir l’adaptation pagnolesque). Je relis
de Séville les lettres de mon moulin et les trouve  d’ailleurs déjà
pessimistes : le sort des moines, des bergers, du climat, des meuniers, des
soldats, des douaniers…


QUE DIEU SE LÈVE ET QUE SES ENNEMIS SOIENT DISSIPÉS, ET QUE CEUX QUI LE HAÏSSENT
FUIENT DE DEVANT SA FACE. COMME LA FUMÉE DISPARAÎT, QU’ILS DISPARAISSENT DE MÊME
; ET COMME LA CIRE FOND AU FEU, QUE LES DÉMONS PÉRISSENT AUSSI DEVANT LA FACE DE
CEUX QUI AIMENT DIEU ET QUI SE PRÉMUNISSENT PAR LE SIGNE DE LA CROIX, ET DISENT
AVEC ALLÉGRESSE : SALUT, GLORIEUSE ET VIVIFIANTE CROIX DU SEIGNEUR, QUI FAITES
FUIR LES DÉMONS PAR LA VERTU DE JÉSUS CRUCIFIÉ, DESCENDU AUX ENFERS ET VAINQUEUR
DE LA PUISSANCE DU SATAN. CAR C’EST LE SAUVEUR QUI NOUS A DONNÉ SA CROIX
PRÉCIEUSE, COMME UNE ARME POUR CHASSER TOUS NOS ENNEMIS. Ô SAINTE CROIX DU
SEIGNEUR,SOYEZ NOTRE ASSISTANCE CONJOINTEMENT AVEC LA BIENHEUREUSE VIERGE ET
TOUS LES SAINTS. AINSI SOIT-IL.


Auteur nicolasbonnalPublié le 16 janvier 202416 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Que Dieu se lève et que ses ennemis soient dissipés, et que ceux
qui le haïssent fuient de devant sa face. Comme la fumée disparaît, qu’ils
disparaissent de même ; et comme la cire fond au feu, que les démons périssent
aussi devant la face de ceux qui aiment Dieu et qui se prémunissent par le signe
de la croix, et disent avec allégresse : Salut, glorieuse et vivifiante Croix du
Seigneur, qui faites fuir les démons par la vertu de Jésus crucifié, descendu
aux enfers et vainqueur de la puissance du Satan. Car c’est le Sauveur qui nous
a donné sa croix précieuse, comme une arme pour chasser tous nos ennemis. Ô
Sainte Croix du Seigneur,soyez notre assistance conjointement avec la
Bienheureuse Vierge et tous les Saints. Ainsi soit-il.


JE MÉDITE ICI VIRGILE ET SÉNÈQUE DANS MON HAUT-LIEU INITIATIQUE PRÉFÉRÉ, LA CASA
DE PILATOS, À SÉVILLE LA ROYALE, ROMAINE IMPÉRIALE, LA MONDIALE, REINE DES
VILLES CONQUÉRANTES ET BAROQUES (CHAUNU). IL N’Y A AUCUN GRAND RESET. SÉVILLE,
DÉBUT JANVIER, GROUILLE, ÉTANT PLEINE À CRAQUER DE TOURISTES. LE
TURBO-CAPITALISME POST-HISTORIQUE FONCTIONNE À BLOC ; IL Y A DEUX MILLIARDS DE
TOURISTES VOYAGEURS (VOIR MA SŒUR DÉÇUE AUX MALDIVES) ; IL Y A LES RICHES, LES
MOYENS PAS SI MOYENS QUE ÇA (MACRON AUGMENTE QUELQUES MILLIONS DE RETRAITES EN
JANVIER) ET QUELQUES MILLIONS DE PAUVRES DONT TOUT LE MONDE SE FOUT DEPUIS QUE
NIETZSCHE A DIT QUE « CHEZ LE PETIT PEUPLE L’APPÉTIT  VIENT EN MANGEANT (IE :
SEULEMENT EN MANGEANT). » DAVOS VICTIME DE SON SUCCÈS : ON NE PEUT PLUS SE GARER
EN JET. LE CHALET MINABLE À DIX MILLE FRANCS SUISSES LA NUIT…

https://es.wikipedia.org/wiki/Casa_de_Pilatos_(Sevilla)

http://www.fundacionmedinaceli.org/monumentos/pilatos/



https://www.ft.com/content/675ea31c-640f-11e2-b92c-00144feab49a



https://www.letemps.ch/suisse/escort-girls-nouvelles-reines-prostitution-genevoise#:~:text=Ils%20varient%20en%20moyenne%20de,la%20journ%C3%A9e%20ou%20la%20nuit.








Clé ici :

https://www.ft.com/content/675ea31c-640f-11e2-b92c-00144feab49a





Auteur nicolasbonnalPublié le 16 janvier 202416 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Je médite ici Virgile et Sénèque dans mon haut-lieu initiatique
préféré, la casa de Pilatos, à Séville la royale, ROMAINE impériale, la
mondiale, reine des villes conquérantes et baroques (Chaunu). Il n’y a aucun
Grand Reset. Séville, début janvier, grouille, étant pleine à craquer de
touristes. Le turbo-capitalisme post-historique fonctionne à bloc ; il y a deux
milliards de touristes voyageurs (voir ma sœur déçue aux Maldives) ; il y a les
riches, les moyens pas si moyens que ça (Macron augmente quelques millions de
retraites en janvier) et quelques millions de pauvres dont tout le monde se fout
depuis que Nietzsche a dit que « chez le petit peuple l’appétit  vient en
mangeant (IE : SEULEMENT en MANGEANT). » Davos victime de son succès : on ne
peut plus se garer en jet. Le chalet minable à dix mille francs suisses la nuit…


CONSEIL DE SÉNÈQUE AUX AFFOLÉS DE RESET, DE NUMÉRIQUE, DE GUERRE, D’APOCALYPSE,
DE MONDIALISME, DE CHASSE AU CARBONE ET COMPAGNIE : « IL Y A, Ô LUCILIUS, PLUS
DE CHOSES QUI FONT PEUR QU’IL N’Y EN A QUI FONT MAL, ET NOS PEINES SONT PLUS
SOUVENT D’OPINION QUE DE RÉALITÉ…EXAMINE D’ABORD SI DES SIGNES CERTAINS
PRÉSAGENT LA VENUE DU MAL, CAR PRESQUE TOUJOURS DE SIMPLES SOUPÇONS NOUS
ABATTENT, DUPES QUE NOUS SOMMES DE CETTE RENOMMÉE QUI SOUVENT DÉFAIT DES ARMÉES
ENTIÈRES, À PLUS FORTE RAISON DES COMBATTANTS ISOLÉS… JE NE SAIS COMMENT LE
CHIMÉRIQUE ALARME TOUJOURS DAVANTAGE: C’EST QUE LE VRAI A SA MESURE, ET QUE
L’INCERTAIN AVENIR RESTE LIVRÉ AUX CONJECTURES ET AUX HYPERBOLES DE LA PEUR.
AUSSI N’EST-IL RIEN DE SI DÉSASTREUX, DE SI IRRÉMÉDIABLE QUE LES TERREURS
PANIQUES: LES AUTRES ÔTENT LA RÉFLEXION, CELLES-CI, JUSQU’À LA PENSÉE (SÉNÈQUE,
LETTRE À LUCILIUS, XIII). »

 Il y a, ô Lucilius, plus de choses qui font peur qu’il n’y en a qui font mal,
et nos peines sont plus souvent d’opinion que de réalité. Je te parle ici le
langage non des stoïciens, mais de l’autre école, moins hardie. Car nous disons,
nous, que tout ce qui arrache à l’homme la plainte ou le cri des douleurs, tout
cela est futile et à dédaigner. Oublions ces doctrines si hautes et néanmoins si
vraies : ce que je te recommande, c’est de ne pas te faire malheureux avant le
temps ; car ces maux, dont l’imminence apparente te fait pâlir, peut-être ne
seront jamais, à coup sûr ne sont point encore. Nos angoisses parfois vont plus
loin, parfois viennent plus tôt qu’elles ne doivent ; souvent elles naissent
d’où elles ne devraient jamais naître. Elles sont ou excessives, ou chimériques,
ou prématurées. Le premier de ces trois points étant controversé et le procès
restant indécis, n’en parlons pas quant à présent. Ce que j’appellerais léger,
tu le tiendrais pour insupportable ; et je sais que des hommes rient sous les
coups d’étrivières, que d’autres se lamentent pour un soufflet. Plus tard nous
verrons si c’est d’elles-mêmes que ces choses tirent leur force ou de notre
faiblesse. En attendant promets-moi, quand tu seras assiégé d’officieux qui te
démontreront que tu es malheureux, de ne point juger sur leurs dires, mais sur
ce que tu sentiras : consulte ta puissance de souffrir, appelles-en à toi-même
qui te connais mieux que personne : « D’où me viennent ces condoléances ? quelle
peur agite ces gens ? ils craignent jusqu’à la contagion de ma présence, comme
si l’infortune se gagnait ! Y a-t-il ici quelque mal réel ; ou la chose ne
serait-elle point plus décriée que funeste ? » Adresse-toi cette question :
« N’est-ce pas sans motif que je souffre, que je m’afflige ; ne fais-je point un
mal de ce qui ne l’est pas ? » – « Mais comment voir si ce sont chimères ou
réalités qui causent mes angoisses ? » Voici à cet égard la règle. Ou le présent
fait notre supplice, ou c’est l’avenir, ou c’est l’un et l’autre. Le présent est
facile à apprécier. Ton corps est-il libre, est-il sain, aucune disgrâce
n’affecte-t-elle ton âme, nous verrons comment tout ira demain, pour aujourd’hui
rien n’est à faire. « Mais demain arrivera. » Examine d’abord si des signes
certains présagent la venue du mal, car presque toujours de simples soupçons
nous abattent, dupes que nous sommes de cette renommée qui souvent défait des
armées entières, à plus forte raison des combattants isolés. Oui, cher Lucilius,
on capitule trop vite devant l’opinion : on ne va point reconnaître
l’épouvantail, on n’explore rien, on ne sait que trembler et tourner le dos
comme les soldats que la poussière soulevée par des troupeaux en fuite a chassés
de leur camp, ou qu’un faux bruit semé sans garant frappe d’un commun effroi. Je
ne sais comment le chimérique alarme toujours davantage : c’est que le vrai a sa
mesure, et que l’incertain avenir reste livré aux conjectures et aux hyperboles
de la peur. Aussi n’est-il rien de si désastreux, de si irrémédiable que les
terreurs paniques : les autres ôtent la réflexion, celles-ci, jusqu’à la pensée.
Appliquons donc ici toutes les forces de notre attention. Il est vraisemblable
que tel mal arrivera, mais est-ce là une certitude ? Que de choses surviennent
sans être attendues, que de choses attendues ne se produisent jamais ! Dût-il
même arriver, à quoi bon courir au-devant du chagrin ? il se fera sentir assez
tôt quand il sera venu : d’ici là promets-toi meilleure chance. Qu’y
gagneras-tu ? du temps. Mille incidents peuvent faire que le péril le plus
prochain, le plus imminent, s’arrête ou se dissipe ou aille fondre sur une autre
tête. Des incendies ont ouvert passage à la fuite ; il est des hommes que la
chute d’une maison a mollement déposés à terre ; des têtes déjà courbées sous le
glaive l’ont vu s’éloigner, et le condamné a survécu à son bourreau. La mauvaise
fortune aussi a son inconstance. Elle peut venir comme ne venir pas : jusqu’ici
elle n’est pas venue : vois le côté plus doux des choses. Quelquefois, sans
qu’il apparaisse aucun signe qui annonce le moindre malheur, l’imagination se
crée des fantômes ; ou c’est une parole de signification douteuse qu’on
interprète en mal, ou l’on s’exagère la portée d’une offense, songeant moins au
degré d’irritation de son auteur qu’à tout ce que pourrait sa colère. Or la vie
n’est plus d’aucun prix, nos misères n’ont plus de terme, si l’on craint tout ce
qui en fait de maux est possible. Que ta prudence te vienne en aide, emploie ta
force d’âme à repousser la peur du mal même le plus évident ; sinon, combats une
faiblesse par une autre, balance la crainte par l’espoir. Si certains que soient
les motifs qui effraient, il est plus certain encore que la chose redoutée peut
s’évanouir, comme celle qu’on espère peut nous décevoir. Pèse donc ton espoir et
ta crainte, et si l’équilibre en somme est incertain, penche en ta faveur et
crois ce qui te flatte le plus. As-tu plus de probabilités pour craindre, n’en
incline pas moins dans l’autre sens et coupe court à tes perplexités.
Représente-toi souvent combien la majeure partie des hommes, alors qu’ils
n’éprouvent aucun mal, qu’il n’est pas même sûr s’ils en éprouveront, s’agitent
et courent par tous chemins. C’est que nul ne sait se résister, une fois
l’impulsion donnée, et ne réduit ses craintes à leur vraie valeur. Nul ne dit :
« Voilà une autorité vaine, vaine de tout point : cet homme est fourbe ou
crédule. » On se laisse aller aux rapports ; où il y a doute, l’épouvante voit
la certitude ; on ne garde aucune mesure, soudain le soupçon grandit en terreur.

https://fr.wikisource.org/wiki/Lettres_%C3%A0_Lucilius/Lettre_13












Auteur nicolasbonnalPublié le 16 janvier 202416 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Conseil de Sénèque aux affolés de Reset, de numérique, de
guerre, d’apocalypse, de mondialisme, de chasse au carbone et compagnie : « Il y
a, ô Lucilius, plus de choses qui font peur qu’il n’y en a qui font mal, et nos
peines sont plus souvent d’opinion que de réalité…Examine d’abord si des signes
certains présagent la venue du mal, car presque toujours de simples soupçons
nous abattent, dupes que nous sommes de cette renommée qui souvent défait des
armées entières, à plus forte raison des combattants isolés… Je ne sais comment
le chimérique alarme toujours davantage: c’est que le vrai a sa mesure, et que
l’incertain avenir reste livré aux conjectures et aux hyperboles de la peur.
Aussi n’est-il rien de si désastreux, de si irrémédiable que les terreurs
paniques: les autres ôtent la réflexion, celles-ci, jusqu’à la pensée (Sénèque,
lettre à Lucilius, XIII). »


ARTHUR DE GOBINEAU RÉSUMANT, ASSEZ GÉNIALEMENT JE DOIS DIRE, LE PRÉSENT
PERPÉTUEL DES FRANÇAIS (LETTRE DE TÉHÉRAN ADRESSÉE À TOCQUEVILLE, 29 NOVEMBRE
1856) : « UN PEUPLE QUI, AVEC LA RÉPUBLIQUE, LE GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIF OU
L’EMPIRE, CONSERVERA TOUJOURS PIEUSEMENT UN AMOUR IMMODÉRÉ POUR L’INTERVENTION
DE L’ETAT EN TOUTES SES AFFAIRES, POUR LA GENDARMERIE, POUR L’OBÉISSANCE PASSIVE
AU COLLECTEUR, AU (ILLISIBLE), À L’INGÉNIEUR, QUI NE COMPREND PLUS
L’ADMINISTRATION MUNICIPALE, ET POUR QUI LA CENTRALISATION ABSOLUE ET SANS
RÉPLIQUE EST LE DERNIER MOT DU BIEN, CE PEUPLE-LÀ, NON SEULEMENT N’AURA JAMAIS
D’INSTITUTIONS LIBRES, MAIS NE COMPRENDRA MÊME JAMAIS CE QUE C’EST. AU FOND, IL
AURA TOUJOURS LE MÊME GOUVERNEMENT SOUS DIFFÉRENTS NOMS… » 

https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_entre_Alexis_de_Tocqueville_et_Arthur_de_Gobineau/03




Auteur nicolasbonnalPublié le 15 janvier 202415 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Arthur de Gobineau résumant, assez génialement je dois dire, le
présent perpétuel des Français (Lettre de Téhéran adressée à Tocqueville, 29
novembre 1856) : « Un peuple qui, avec la République, le gouvernement
représentatif ou l’Empire, conservera toujours pieusement un amour immodéré pour
l’intervention de l’Etat en toutes ses affaires, pour la gendarmerie, pour
l’obéissance passive au collecteur, au (illisible), à l’ingénieur, qui ne
comprend plus l’administration municipale, et pour qui la centralisation absolue
et sans réplique est le dernier mot du bien, ce peuple-là, non seulement n’aura
jamais d’institutions libres, mais ne comprendra même jamais ce que c’est. Au
fond, il aura toujours le même gouvernement sous différents noms… » 


ANCIENNETÉ DE LA SALAUDERIE JOURNALISTIQUE (SANS PASSER PAR CÉLINE OU DRUMONT).
L’HONORABLE SERGE HALIMI ET LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE : « EN 1992, LA
CAMPAGNE DU RÉFÉRENDUM SUR LE TRAITÉ DE MAASTRICHT RÉPÉTA LES « DÉRIVES »
OBSERVÉES PENDANT LA GUERRE DU GOLFE. LÀ ENCORE, BEAUCOUP DE CHOSES SE
CONJUGUÈRENT : LA VOLONTÉ D’ENCOURAGER L’ÉLITE ÉCLAIRÉE QUI CONSTRUIT L’AVENIR
(«L’EUROPE») ALORS QUE LE PEUPLE NE SAIT QU’EXHALER SES NOSTALGIES, SA «
XÉNOPHOBIE » ET « PEURS » ; LA PRÉFÉRENCE INSTINCTIVE POUR LES OPTIONS DU
CENTRE, SURTOUT LORSQU’ELLES S’OPPOSENT AUX EXTRÊMES « POPULISTE » ET «
NATIONALISTE » ; ENFIN LA PLACE ACCORDÉE AUX AVIS DES EXPERTS ET DES
INTELLECTUELS, EUX AUSSI PARTICULIÈREMENT SENSIBLES AUX RESSORTS PRÉCÉDENTS.
INTELLIGENCE CONTRE IRRATIONALITÉ, OUVERTURE CONTRE REPLI, AVENIR CONTRE PASSÉ,
ORDRE CONTRE MEUTE : TOUS CES FRAGMENTS D’UN DISCOURS MÉPRISANT DE CASTE ET DE
CLASSE RESURGIRENT AU MOMENT DU RÉFÉRENDUM DE MAI 2005 SUR LE TRAITÉ
CONSTITUTIONNEL EUROPÉEN.»

Répétons : la France est depuis longtemps un pays conditionné. On le voit bien
en relisant sans les œillères scolaires Molière ou La Bruyère. Le bourgeois, le
dévot, le malade imaginaire, la femme savante, le sot savant, l’escroc médecin,
le pédant-expert, l’hypocrite, la précieuse, sont des mines pour qui sait voir ;
et la crise du Covid marquée par la dictature et la tartuferie sanitaire, revêt
un caractère très français. Taine ou Tocqueville avaient tout dit.
Centralisation, pouvoir royal, révolution, empire, radical-socialisme ont pavé
la voie de la soumission jacobine de la masse (voyez mes textes sur le sujet) et
l’esprit libre souvent ne comprend pas sa solitude.

La presse et la télé sont vilipendées aujourd’hui pour leur rôle. Mais elles
sont toujours comme ça. Rappelons donc la belle étude de Serge Halimi qui connut
alors un grand et inutile succès.

La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH,
qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur
de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et
ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques,
vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous
aura tout imposé.
Malheureusement il n’y a rien de nouveau sous le sommeil : depuis les années
Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un
présent permanent d’omerta (Sophie Coignard), d’abjection et de désinformation
sous contrôle de la mafia d’État (Vincent Jauvert). Ils sont là pour enrichir
les riches et pour empoisonner les Français.

C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels
dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge
Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son documenté
pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :

« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire,
quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de «
l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est
heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la
brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat
ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale »
et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du
référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte
blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la «
société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses
nouveaux seigneurs. »

La presse fut chargée d’encenser Davos :

« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est
d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses
bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment.
Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de
la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour
patrons copains et citoyens. »

Halimi tacle au passage – mais ironiquement hélas – l’effarant Laurent Joffrin :

« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra
les États- Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie
son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double
pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale
favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque
partout : creux et révérencieux. »

La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait le trop oublié géographe
tiers-mondiste Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance
belligène et coloniale :

« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de
complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a
été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où,
mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de
quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos,
radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour
officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de
prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes. »

Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992
au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste,
fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de
gauche, du centre ou d’ailleurs :

« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les «
dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se
conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir
(« l’Europe») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa «
xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du
centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et «
nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des
intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents.
Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé,
ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de
classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité
constitutionnel européen. »

Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi
rappelle :

« Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour
découvrir que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps
après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans
les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants
de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant
concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »

Et puisque je citais Molière, je rappellerai sa prodigieuse pièce méconnue :
« tu l’as voulu, Georges Dandin, tu l’as voulu ! ». Car le Français de souche
adore remettre ça. Il élira sauf accident (mais lequel ?) l’énarque Pécresse
après l’énarque Macron et l’énarque Hollande (voyez aussi les énarques Philippot
ou Asselineau…), le tout sans se poser de questions. L’important c’est de s’en
foutre. Ça il sait faire.

Nicolas Bonnal sur Amazon.fr

Auteur nicolasbonnalPublié le 15 janvier 202415 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Ancienneté de la salauderie journalistique (sans passer par
Céline ou Drumont). L’honorable Serge Halimi et les nouveaux chiens de garde : «
En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les «
dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se
conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir
(«l’Europe») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa «
xénophobie » et « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du
centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et «
nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des
intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents.
Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé,
ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de
classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité
constitutionnel européen.»


FUSTEL DE COULANGES ET LA FEMME DU BOULANGER DE PAGNOL. « LA MAISON D’UN GREC OU
D’UN ROMAIN RENFERMAIT UN AUTEL ; SUR CET AUTEL IL DEVAIT Y AVOIR TOUJOURS UN
PEU DE CENDRE ET DES CHARBONS ALLUMÉS. C’ÉTAIT UNE OBLIGATION SACRÉE POUR LE
MAÎTRE DE CHAQUE MAISON D’ENTRETENIR LE FEU JOUR ET NUIT. MALHEUR À LA MAISON OÙ
IL VENAIT À S’ÉTEINDRE ! CHAQUE SOIR, ON COUVRAIT LES CHARBONS DE CENDRE POUR
LES EMPÊCHER DE SE CONSUMER ENTIÈREMENT ; AU RÉVEIL, LE PREMIER SOIN ÉTAIT DE
RAVIVER CE FEU ET DE L’ALIMENTER AVEC QUELQUES BRANCHAGES. LE FEU NE CESSAIT DE
BRILLER SUR L’AUTEL QUE LORSQUE LA FAMILLE AVAIT PÉRI TOUT ENTIÈRE ; FOYER
ÉTEINT, FAMILLE ÉTEINTE, ÉTAIENT DES EXPRESSIONS SYNONYMES CHEZ LES ANCIENS… »
DANS CE FILM, NOTER L’ENLÈVEMENT INITIATIQUE SAISONNIER (PERSÉPHONE-PROSERPINE),
LE MAINTIEN DE LA FÉODALITÉ (CHARPIN ICI AVEC RAIMU) ET DES TRADITIONS, LA
BATTUE VILLAGEOISE, LA SOLIDITÉ D’UNE FRANCE (LE CURÉ SUR LE DOS DE L’INSTIT’
POUR RETROUVER LA LARRONNE) RURALE ET CHRÉTIENNE.

Restons dans le panégyrique du génie populaire. Pagnol alors.

On commence par un rappel de Fustel de Coulanges, seul moyen de comprendre la
Femme du boulanger par-delà la célébration de notre cinéma de papa, des
dialogues avec accent ou de l’extraordinaire Raimu, acteur préféré d’Orson
Welles :

« La maison d’un Grec ou d’un Romain renfermait un autel ; sur cet autel il
devait y avoir toujours un peu de cendre et des charbons allumés.

C’était une obligation sacrée pour le maître de chaque maison d’entretenir le
feu jour et nuit. Malheur à la maison où il venait à s’éteindre ! Chaque soir,
on couvrait les charbons de cendre pour les empêcher de se consumer entièrement
; au réveil, le premier soin était de raviver ce feu et de l’alimenter avec
quelques branchages. Le feu ne cessait de briller sur l’autel que lorsque la
famille avait péri tout entière ; foyer éteint, famille éteinte, étaient des
expressions synonymes chez les anciens… »

Notre immense historien-poète (dix ans de lectures en latin-grec avant de
commencer à écrire) ajoutait plus loin :

« Le feu du foyer était donc la Providence de la famille. Son culte était fort
simple. La première règle était qu’il y eût toujours sur l’autel quelques
charbons ardents ; car si le feu s’éteignait, c’était un dieu qui cessait
d’être. A certains moments de la journée, on posait sur le foyer des herbes
sèches et du bois ; alors le dieu se manifestait en flamme éclatante. On lui
offrait des sacrifices ; or, l’essence de tout sacrifice était d’entretenir et
de ranimer ce feu sacré, de nourrir et de développer le corps du dieu. »

 La femme enlevée du boulanger évoque la vestale, la gardienne du foyer,
profanée par le berger maudit – qui sait le mal (le mâle ?) qu’il a fait, et
fuit en conséquence en se jetant aux eaux. C’est ici une histoire de faune ou de
dieu Pan (la musique lascive y joue son rôle) mais aussi une histoire
d’enlèvement. Le mot grec arpazè a donné aussi notre Harpagon. L’enlèvement
(belle unité de temps et d’action, tout passe comme un coup de foudre) de
Perséphone-Proserpine par Pluton-Kochtcheï est dans toutes les mémoires et ici
c’est la gardienne du pain qui a été enlevée. On relève aussi le conflit
traditionnel entre Caïn et Abel, entre nomades et sédentaires entre pasteurs et
agriculteurs. Le village terrien célèbre bien sûr le pain, avec le vin, avec
tous les mystères chrétiens de transsubstantiation  qui s’y agrègent. Le monde
de Pagnol, de Giono et de Raimu a en fait peu bougé depuis Virgile, il va être
brisé par De Gaulle, la bagnole, la station-service et la télé (tout cela
métaphorisé dans le Fantômas de Hunebelle) dans les années soixante et ce n’est
pas un hasard si Pagnol arrête de tourner vers le milieu des années cinquante
avant le massacre filmé par Jacques Tati dans mon oncle ou Play time. La France
ou la Provence ne vont plus être un peuple de paysans chrétiens, mais une plèbe
de touristes-téléspectateurs traumatisés par le racisme et le terrorisme.





La femme part et revient à cheval. On pense à la demoiselle à la mule, à l’âne
de Jérusalem. Le cheval appartient au supérieur et libertin marquis qui organise
la battue pour récupérer la femme enlevée du boulanger. Le marquis est flanqué
de deux fonctionnaires, celui de l’âme –  un jeune curé d’avant Vatican II (donc
encore un curé) – et l’instituteur bienveillant qui accepte de servir de monture
(Christophore ?) au vrai pasteur du troupeau. Situation pagnolesque… Dans Manon
des sources, autre hymne au paganisme provençal réalisé presque vingt ans plus
tard, l’instituteur a le beau rôle de capteur civilisé d’infante sauvage – et
rétablit l’eau courante.

On ne finirait avec pas ce film inouï. De passage en France après la guerre,
Orson Welles vient voir Pagnol à l’hôpital et lui demande où est Raimu (mort,
évidemment en 46), qui est « le plus grand acteur du monde ». Or Raimu n’est pas
le meilleur acteur du monde, surtout dans ce film. Jules Muraire, empereur du
cinéma et du théâtre, rayonne dans une autre dimension. Comparer un grand acteur
à Raimu, c’est comme comparer sœur Emmanuelle à sainte Jeanne d’Arc ou Bergoglio
à Savonarole. Et tout dans ce film, seconds et troisièmes rôles y compris,
relève de ce mirage cinématographique de la France paysanne, éternelle et
épargnée.

On termine par Virgile qui décrit en chantant les rites de la reine : « trois
fois elle répand le nectar de Bacchus sur le feu sacré ; trois fois une flamme
brillante s’élance jusqu’à la voûte. »

Ce qui en latin pas d’église nous donne :

Ter liquido ardentem perfudit nectare Vestam,

Ter flamma ad summum tecti subjecta reluxit.

Sources

Virgile – Les Géorgiques, 4

Nicolas Bonnal – Le paganisme au cinéma (Amazon.fr) ; Perceval et la reine
(Amazon.fr), préface de Nicolas Richer (Sparte)…

Fustel de Coulanges – La cité antique





> Nicolas Bonnal, penseur atypique et génie authentique

Auteur nicolasbonnalPublié le 15 janvier 202415 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Fustel de Coulanges et la Femme du boulanger de Pagnol. « La
maison d’un Grec ou d’un Romain renfermait un autel ; sur cet autel il devait y
avoir toujours un peu de cendre et des charbons allumés. C’était une obligation
sacrée pour le maître de chaque maison d’entretenir le feu jour et nuit. Malheur
à la maison où il venait à s’éteindre ! Chaque soir, on couvrait les charbons de
cendre pour les empêcher de se consumer entièrement ; au réveil, le premier soin
était de raviver ce feu et de l’alimenter avec quelques branchages. Le feu ne
cessait de briller sur l’autel que lorsque la famille avait péri tout entière ;
foyer éteint, famille éteinte, étaient des expressions synonymes chez les
anciens… » Dans ce film, noter l’enlèvement initiatique saisonnier
(Perséphone-Proserpine), le maintien de la féodalité (Charpin ici avec Raimu) et
des traditions, la battue villageoise, la solidité d’une France (le curé sur le
dos de l’instit’ pour retrouver la larronne) rurale et chrétienne.


PAYSAGE COSMIQUE QUI M’INSPIRE UNE RELECTURE DE LA PLUS BELLE ET MÉCONNUE LETTRE
DE MON MOULIN (LA PROVENCE SACRÉE DE PAGNOL OU DAUDET EST PROCHE DE NOTRE
ONTOLOGIQUE ANDALOUSIE) : « SI VOUS AVEZ JAMAIS PASSÉ LA NUIT À LA BELLE ÉTOILE,
VOUS SAVEZ QU’À L’HEURE OÙ NOUS DORMONS, UN MONDE MYSTÉRIEUX S’ÉVEILLE DANS LA
SOLITUDE ET LE SILENCE. ALORS LES SOURCES CHANTENT BIEN PLUS CLAIR, LES ÉTANGS
ALLUMENT DES PETITES FLAMMES. TOUS LES ESPRITS DE LA MONTAGNE VONT ET VIENNENT
LIBREMENT, ET IL Y A DANS L’AIR DES FRÔLEMENTS, DES BRUITS IMPERCEPTIBLES, COMME
SI L’ON ENTENDAIT LES BRANCHES GRANDIR, L’HERBE POUSSER. LE JOUR, C’EST LA VIE
DES ÊTRES ; MAIS LA NUIT, C’EST LA VIE DES CHOSES. »

Séville quand même  échappe à la meute qui l’assiège et consomme. Paysage
cosmique qui m’inspire une relecture de la plus belle et méconnue lettre de mon
moulin : «Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu’à
l’heure où nous dormons, un monde mystérieux s’éveille dans la solitude et le
silence. Alors les sources chantent bien plus clair, les étangs allument des
petites flammes. Tous les esprits de la montagne vont et viennent librement, et
il y a dans l’air des frôlements, des bruits imperceptibles, comme si l’on
entendait les branches grandir, l’herbe pousser. Le jour, c’est la vie des êtres
; mais la nuit, c’est la vie des choses. Quand on n’en a pas l’habitude, ça fait
peur… juste au-dessus de nous, voilà le Chemin de saint Jacques (la Voie
lactée). Il va de France droit sur l’Espagne…»

« Les étoiles », rencontre cosmique entre une jeune fille et un brave et initié
berger exercé à la lecture du ciel.

« C’est donc vrai, berger, que vous êtes sorciers, vous autres ?

– Nullement, notre demoiselle. Mais ici nous vivons plus près des étoiles, et
nous savons ce qui s’y passe mieux que les gens de la plaine. »

Elle regardait toujours en haut, la tête appuyée dans la main, entourée de la
peau de mouton comme un petit pâtre céleste :

« Qu’il y en a ! Que c’est beau ! Jamais je n’en avais tant vu… Est-ce que tu
sais leurs noms, berger ?

– Mais oui, maîtresse… Tenez ! juste au-dessus de nous, voilà le Chemin de saint
Jacques (la Voie lactée). Il va de France droit sur l’Espagne. C’est saint
Jacques de Galice qui l’a tracé pour montrer sa route au brave Charlemagne
lorsqu’il faisait la guerre aux Sarrasins. Plus loin, vous avez le Char des Ames
(la Grande Ourse) avec ses quatre essieux resplendissants. Les trois étoiles qui
vont devant sont les Trois Bêtes, et cette toute petite contre la troisième
c’est le Charretier. Voyez-vous tout autour cette pluie d’étoiles qui tombent ?
Ce sont les âmes dont le bon Dieu ne veut pas chez lui… Un peu plus bas, voici
le Râteau ou les Trois Rois (Orion). C’est ce qui nous sert d’horloge, à nous
autres. Rien qu’en les regardant, je sais maintenant qu’il est minuit passé. Un
peu plus bas, toujours vers le midi, brille Jean de Milan, le flambeau des
astres (Sirius). Sur cette étoile-là, voici ce que les bergers racontent. Il
paraît qu’une nuit Jean de Milan, avec les Trois Rois et la Poussinière (la
Pléiade), furent invités à la noce d’une étoile de leurs amies. Poussinière,
plus pressée, partit, dit-on, la première, et prit le chemin haut.

Cliquer pour accéder à daudet-moulin.pdf

Regardez-la, là-haut, tout au fond du ciel. Les Trois Rois coupèrent plus bas et
la rattrapèrent ; mais ce paresseux de Jean de Milan, qui avait dormi trop tard,
resta tout à fait derrière, et furieux, pour les arrêter, leur jeta son bâton.
C’est pourquoi les Trois Rois s’appellent aussi le Bâton de Jean de Milan… Mais
la plus belle de toutes les étoiles, maîtresse, c’est la nôtre, c’est l’Etoile
du Berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons le troupeau, et aussi le
soir quand nous le rentrons. Nous la nommons encore Maguelonne, la belle
Maguelonne qui court après Pierre de Provence (Saturne) et se marie avec lui
tous les sept ans… »




Auteur nicolasbonnalPublié le 14 janvier 202414 janvier 2024Laisser un
commentaire sur Paysage cosmique qui m’inspire une relecture de la plus belle et
méconnue lettre de mon moulin (la Provence sacrée de Pagnol ou Daudet est proche
de notre ontologique Andalousie) : « Si vous avez jamais passé la nuit à la
belle étoile, vous savez qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux
s’éveille dans la solitude et le silence. Alors les sources chantent bien plus
clair, les étangs allument des petites flammes. Tous les esprits de la montagne
vont et viennent librement, et il y a dans l’air des frôlements, des bruits
imperceptibles, comme si l’on entendait les branches grandir, l’herbe pousser.
Le jour, c’est la vie des êtres ; mais la nuit, c’est la vie des choses. »


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Romancier, essayiste, chroniqueur métapolitique internationalement reconnu,
Nicolas Bonnal a publié Mitterrand le grand initié chez Albin Michel et
Internet, nouvelle voie initiatique aux Belles Lettres. Ancien chroniqueur
culturel de l’Idiot international et du Libre Journal, il publie maintenant à la
vitesse du vent ses contes magiques, ses critiques littéraires et ses romans «
pataphysiques » sur Amazon.fr. https://www.amazon.fr/Nicolas-Bonnal/e/B001K7A4X0
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