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Depuis les années 1950, l’avènement des médias audiovisuels a concurrencé le temps de consultation des livres. L’ordinateur, puis les tablettes, ont accéléré cette tendance sans pour autant rendre obsolète cet objet noble, inventé au XVe siècle. Un besoin de lecture s’est ainsi fait sentir pendant le confinement, à l’occasion duquel les librairies ont d’ailleurs été classifiées commerces dits « essentiels ». Le livre reste donc une valeur refuge dans l’offre de l’information et des loisirs. Dans cet univers, quelle place a ce qu’on appelle le « beau livre » ? Une clientèle, regroupant amateurs éclairés, « fashionistas », « digital influencers » et « Henrys » (« High Earners Not Rich Yet » : « hauts revenus en voie de devenir riches », en français), semble s’intéresser à cette catégorie d’ouvrages sur l’histoire des marques de luxe et de mode, mais aussi sur celle des articles de consommation courante. COMMUNIQUER AVEC HISTORICITÉ Ce genre de livre sert une double stratégie : une communication externe de qualité à valeur de publicité informative et une communication interne construisant la mémoire collective de l’entreprise. Pour ce faire, il est nécessaire de déterminer le caractère historique d’un phénomène ou d’un objet de quelque nature ou origine qu’il soit, afin de lui conférer une authenticité incontestable. L’historicité construit la légitimité : c’est ce qui rend la communication possible. Ce principe guide ainsi les marques centenaires dans leur stratégie marketing, où l’originalité de leurs créations sert d’argumentaire au storytelling. La communication institutionnelle gagne en subtilité lorsqu’elle est parée du prestige de l’exposition muséale et de son catalogue richement illustré. Hermès, « le cas du sac » au musée des Arts décoratifs (2004-2005) ; Jean-Paul Gaultier au Grand Palais (2015) ; « Christian Dior, couturier du rêve » au musée des Arts décoratifs (2017) ; « Gabrielle Chanel, manifeste de mode » au Palais Galliera (2021) sont autant d’exemples récents de valorisation d’un patrimoine à la fois culturel et industriel. En effet, si toutes ces productions ont eu une valeur marchande, leur muséification (même éphémère) en font des objets témoins de la culture et des usages d’une époque. Les étapes et les techniques de production, le caractère innovant et conséquemment historique des pièces exposées permettent d’assimiler les codes de la marque et les raisons de leur positionnement dans l’univers du luxe. L’objet, compris comme élément constitutif d’une culture, atteint un certain niveau de sacralisation par le biais de l’analyse diffusée sur la vignette de la vitrine, synthèse frustrante et alléchante qui conduit les plus motivés à acheter le beau livre de l’exposition. Pour les commerciaux, cette culture de l’objet a un rôle à jouer pour capter l’attention du client, dont la finalité est d’acquérir un bien porteur de valeurs et d’histoire. LA VALEUR DU LIVRE, À LA HAUTEUR DES MARQUES Il faut débourser aux alentours de 39 euros pour acquérir un catalogue d’exposition de peinture à la sortie d’un musée. Pour ceux qui concernent des marques de luxe, non seulement leur valeur est plus élevée, mais elle résiste aussi à l’érosion de l’actualité culturelle. Sur les plateformes d’e-commerce, le beau livre de l’exposition Jean-Paul Gaultier vaut encore 45 euros, tout comme celui de « Cartier, le style et l’histoire » (2014, Grand Palais) ou encore celui, plus récent, consacré à « Gabrielle Chanel, manifeste de mode ». En revanche, le « pavé » luxueux de la rétrospective « Degas et le nu » (2012, musée d’Orsay) ne vaut désormais que 20 euros. Les beaux livres des maisons de luxe gardent donc leur prix d’origine, même s’ils n’ont pas été publiés à l’occasion d’un événement culturel. « The Givenchy style » (1998) à 139 euros, « Cartier Panthère » (2014) à 450 euros, « Dior par Christian Dior » (2017) à 195 euros… Tous ces ouvrages restent des produits d’exception, dans une niche élitiste. Cela semble d’ailleurs relever de la stratégie de positionnement des marques, comme l’attestent par exemple le livre anniversaire de la montre J12 de Chanel, « L’Instant éternel » (2020, 80 euros) ou l’histoire de l’écriture racontée en 2021 par Mont-Blanc dans « Inspire writing » (195 euros). Leur pérennité sur le marché, en boutique ou en ligne, montre bien que le lectorat ciblé est susceptible de débourser la même somme pour un beau livre que pour les produits d’entrée de gamme de ces marques (le parfum, souvent). L’acte d’achat relève de la curiosité intellectuelle autant que de la vanité discrète. Il faut consentir à un certain effort financier pour sentir que l’on accède à une dimension d’achat un peu hors norme. En cela, le beau livre ne dénature pas la marque : son acquisition conserve sa dimension élitiste. A l’inverse, un produit financièrement abordable peut, lui, gagner en prestige, voire atteindre une valeur iconique dans le cadre d’une publication soignée comme celles consacrées à « La Coccinelle VW » (59 euros) ou au « Coca Cola », dont l’édition luxe chez Assouline ne vaut pas moins de… 464 euros. L’ACHETEUR EST-IL LECTEUR ? Le livre a une fonction vitale pour l’entreprise qui le commandite : celle d’organiser la mémoire, notamment pour les employés. Mais quelle fonction a-t-il pour celui qui l’achète ? Livre d’apparat ramené d’une exposition, bible de référence d’un produit emblématique (comme le sac Kelly ou la montre Tank)… On suppose le plaisir de la lecture. Cependant, dans une société du paraître, on peut aussi en douter. L’acheteur est-il lecteur ? De prime abord, le beau livre permet à son possesseur d’afficher une forme de bon goût mêlant niveau intellectuel et raffinement de la pensée. Au sortir de la boutique du musée, on revendique comme un droit d’emporter une part symbolique d’une culture, à défaut de la matérialité de l’inventaire exposé. Dans l’intimité des foyers, deux places de choix lui sont réservées : la bibliothèque et la table basse du salon. Le beau livre prolonge ainsi l’effet de l’exposition, suggérant une culture et un certain niveau de connaissances chez son propriétaire. Le beau livre se fond dans le décor autant qu’il se remarque. D’ailleurs, le département décoration et art de vivre des marques de luxe l’intègre à leur showroom ou à leur catalogue en ligne. Fendi Casa et Armani Casa proposent ainsi des « book-cases » et autres « coffee-table books » (littéralement, en français, « livres pour table basse ») que les magazines de décoration relaient. On procure de la sorte au lectorat une mise en scène de lui-même. Le beau livre confère au salon un air de cabinet de curiosités, valorisant pour celui qui l’habite. Le lecteur est-il client de la marque ? C’est là l’enjeu. La possession du beau livre peut anoblir celle, complémentaire, d’autres objets de la marque, rehaussant alors la valeur intellectuelle du client connaisseur – nec plus ultra qu’ignore le consommateur ostentatoire. AU-DELÀ DU LECTORAT Le beau livre, comme la Rolls ou la Joconde, n’aurait-il pas un impact lointain chez ceux qui ne l’ont pourtant jamais envisagé ? Son contenu ressurgit comme dilué dans les magazines de mode et sur Internet, sur les sites dédiés. Les marques du luxe ont bien compris que la fascination pour leur nom et le fétichisme de leur logo jouent en leur faveur. Les médias saisissent les actualités que représentent les expositions et les publications et élargissent, à moindre frais pour les marques, leur influence auprès d’une clientèle loin de leur cœur de cible traditionnel, auquel s’adressait initialement ce type d’ouvrage. Au-delà du lectorat espéré, les enseignes du luxe savent qu’elles communiquent en profondeur avec un marché bien plus vaste. En 2011, Gucci a lancé l’ouvrage « The Making of » au moment de l’inauguration de son musée, à Florence, où des personnalités ont affiché leur dévotion à la marque. Le beau livre s’inscrit dans le cercle vertueux de la logique synallagmatique : l’exposition promeut la marque et le livre, puis les médias s’en emparent et répercutent l’événement et ses acteurs privilégiés vers les produits ciblés de l’exposition. Ainsi se construit, se diffuse et se pérennise la notoriété des marques. En 2017, à Londres, l’exposition « Cartier in Motion » et son beau livre ont ainsi été conçus autour du relooking et du lancement de la montre Santos, couplé à celui du parfum L’Envol. UN MARKETING D’EXCEPTION Le beau livre pourrait passer pour un maillon à faible capacité marketing, si on ne le juge qu’à l’aune des lecteurs assouvis. Il est en fait un maillon invisible qui donne sa cohérence à une politique de communication haut de gamme, apanage distinctif de l’industrie du luxe. Pour autant, on constate que des marques populaires pratiquent ce marketing d’exception en produisant, elles aussi, des livres chatoyants. En 2007, pour ses vingt ans, Mango sortait « Prestige Book » (180 euros), en rappelant que son image de modernité associée à la jeunesse était liée aux top models (Claudia Schiffer, Naomi Campbell, Lizzy Jagger…). La présence de ces icônes mondiales au coeur de l’ouvrage démontrait que Mango voulait être reconnue pour l’élégance de ses coupes et sa technique couture – des caractéristiques comparables à celles des grandes maisons pour lesquelles ces mannequins défilaient. A cet effet, l’accès aux précieuses pages obligeait le lecteur à couper aux ciseaux un fil noir qui passait par quatre trous, symbolisant une confection soignée réservée à un client s’en estimant l’unique détenteur. En 2014, H&M publiait « The Ten First Years » (30 euros), pour mettre en lumière les collaborations de la marque suédoise avec les créateurs de la haute couture et de la mode (Karl Lagerfeld – en couverture –, Stella McCartney, Jimmy Choo, Isabel Marant…). La stratégie était la même : provoquer une association d’idées entre vêture originale de qualité et volupté élégante abordable. Ces beaux livres se devaient d’avoir un prix élevé et un tirage limité correspondant à ceux des grandes marques afin d’assumer cette ambition de notoriété et d’espérer susciter une respectabilité mutuelle chez ceux qui, souvent, les ont inspirés. Si le beau livre peut ainsi être vu comme un produit de marketing ordinaire dans le luxe, il n’en a pas l’apanage : il peut aussi être un faire-valoir exceptionnel pour une marque bon marché. Je suis déjà abonné, je me connecte Abonnement intégral 14,50 € / mois Offre sans engagnement. 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Son séminaire de MBA porte sur les rapports de la mode, de la haute couture et du sport à l’histoire, ainsi que son utilisation dans […] Voir toutes les chroniques La rédaction vous propose de lire aussi : Les marques de luxe font appel à l’art pour booster leur marketing Luxe : que nous apprend l’écosystème d’Alibaba ? Les marques de luxe jouent la sobriété VOUS SOUHAITEZ EN SAVOIR PLUS ? EN SAVOIR PLUS ? Enfin un manuel complet pour mieux communiquer dans toutes les situations professionnelles. Découvrez comment préparer vos interventions avec succès et donnez plus d’impact aux... Enfin un manuel complet pour mieux communiquer dans toutes les situations... DECOUVRIR CE PRODUIT SUR LE MÊME SUJET Management Comment gérer un collègue désagréable Carrière Comment donner du sens à un travail pour lequel on ne se sent pas « vraiment fait » ? 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