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Ces dernières sont non seulement sous-diagnostiquées, sous-traitées mais elles ignorent également les risques encourus et symptômes à connaître. Notre Temps explore le cœur des femmes. SOMMAIRE 1. Pourquoi les femmes sont-elles sous-diagnostiquées? 2. Quels sont les symptômes auxquels les femmes doivent faire attention? 3. Les antécédents gynécologiques, un pan de la vie à ne pas oublier 4. Pourquoi les femmes sont-elles moins bien traitées? 5. Pourquoi meurent-elles davantage que les hommes de crise cardiaque? 6. Comment le corps médical évolue sur la question? "Une femme qui ressent une douleur insupportable dans la poitrine n'est pas forcément une hystérique en crise d'angoisse, s'agace Stéphanie, 54 ans. Je le dis à toutes les femmes: une douleur dans la poitrine est un signal d'alerte à ne pas négliger." C'est un peu le leitmotiv de l'association Agir pour le coeur des femmes, pour laquelle cette quinqua a accepté de témoigner. Depuis septembre 2021, des bus du cœur proposent un dépistage gratuit cardiovasculaire, métabolique et gynécologique à des femmes en situation de vulnérabilité. Une des nombreuses méthodes pour sensibiliser la société à un sujet de santé publique: les femmes sont à la fois plus fragiles et moins bien diagnostiquées que les hommes quand elles sont atteintes de maladies cardiovasculaires. Comprenez les insuffisances cardiaques, infarctus, AVC, "syndrome du coeur brisé"… Pour y voir plus clair, Notre Temps a interrogé Claire Mounier-Véhier, cardiologue et médecin vasculaire au CHRU de Lille et cofondatrice de Agir pour le cœur des femmes. Lire aussi > Des bus contre les déserts médicaux POURQUOI LES FEMMES SONT-ELLES SOUS-DIAGNOSTIQUÉES? Dans l'inconscient collectif, l'infarctus est plutôt une maladie d'homme. Or, les maladies cardiovasculaires sont en réalité la première cause de mortalité des femmes, devant les cancers. "Plus de 200 femmes décèdent chaque jour de maladies cardiovasculaires, ça fait 76.000 patientes par an!, souligne Claire Mounier-Véhier. Notamment parce que les femmes ne sont pas prises en charge à temps ou insuffisamment traitées." La faute à certains médecins qui prescrivent moins volontiers un examen cardiaque ou un test d'effort à une femme qui se plaindrait de douleurs au thorax. Et qui méconnaissent les spécificités des symptômes de l'infarctus chez les femmes. Une étude canadienne (sur 1000 patients pris en charge aux Etats-Unis, Canada et Suisse) a dévoilé que les femmes qui arrivent aux urgences pour une suspicion d'infarctus sont 29 % à passer un électroencéphalogramme en moins de 10 minutes, contre 38 % des hommes. Or, quand le coeur s'arrête chaque minute compte... Ce retard de diagnostic s'explique aussi par l'auto-censure des patientes. Premier point: elles consultent tardivement. Une étude réalisée par Axa pour Agir pour le coeur des femmes en septembre 2021 dévoilait que 77% d'entre elles repoussent au maximum le moment de consulter et 42% n'ont jamais surveillé leur coeur. Une étude suisse sur 4.000 patients, dont 1000 femmes, admis pour infarctus, montre également que les femmes mettent 37 minutes de plus que les hommes à prévenir les secours. Par ailleurs, elles passent toujours au second plan: "elles vont s'occuper de la santé de leurs proches, mais pas de la leur", regrette la cardiologue. Troisième frein à cette prise en charge: le manque d'accès aux médecins, en particulier aux spécialistes, dans les déserts médicaux. "Tout cela génère une errance médicale", regrette la cardiologue. Lire aussi > Santé des femmes: coeur, cancers, sexualité, prenez soin de vous QUELS SONT LES SYMPTÔMES AUXQUELS LES FEMMES DOIVENT FAIRE ATTENTION? D'où l'intérêt de faire connaître, aux soignants comme aux patientes, les signaux qui doivent alerter. Les femmes malades du coeur présentent souvent des symptômes atypiques. Or, elles les méconnaissent et les minimisent. "La douleur dans la jambe, elles vont dire que c'est l'arthrose, la fatigue, c'est l'âge, les problèmes digestifs, elles pensent qu'elles sont grosses, déplore la médecin. En consultation, c'est effrayant." Qu'est-ce qui doit alerter? "Dans 1 cas sur 2, ce sont les mêmes symptômes que l'homme: douleur, impression que la poitrine se sert en étau, ça irradie dans le bras et la mâchoire, nuance Claire Mounier-Véhier. On se sent partir…" Mais dans l'autre moitié des cas, les femmes vont avoir des signaux différents, beaucoup plus difficiles à repérer. Et très variés: palpitations, essoufflement, tiraillements intermittents, sueurs sans raison apparente, des douleurs au niveau de l'estomac, du cou, de la mandibule ou du haut du dos… "Souvent, ils miment des symptômes digestifs: nausées, vomissements, brûlures gastriques, liste-t-elle. Deux symptômes importants avec ces signaux gastriques doivent alerter: la sensation d'épuisement pour des efforts minimes et l'angoisse", un vrai symptôme à ne pas passer sous silence. "Cette petite sonnette d'alarme qui nous dit que ce n'est pas une indigestion habituelle." LES ANTÉCÉDENTS GYNÉCOLOGIQUES, UN PAN DE LA VIE À NE PAS OUBLIER Mais ces infarctus ne touchent pas n'importe quelle femme. "Les plus à risque sont les fumeuses, celles qui ont du cholestérol (1 femme sur 2 après la ménopause), qui font de l'hypertension (1 femme sur 2 après la ménopause), qui sont en surpoids (1 femme sur 2 après la ménopause). Donc il est rare qu'une femme ménopausée n'ait aucun facteur de risque!" "Quand elle rentre dans la ménopause, si la femme n'est pas vigilante à son hygiène de vie, la carence en oestrogènes peut provoquer une prise de poids abdominale qui favorise les plaques de cholestérol et une rigidité artérielle, précise la cardiologue. La plaque d'athérome [constituées de cellules sanguines et de mauvais cholestérol] chez la femme de plus de 65 ans va se manifester plus vite, car l'artère est plus fine." Mais ce n'est pas uniquement la date de vos dernières règles qui compte pour savoir si vous risquez un infarctus. Tout votre passé gynécologique peut avoir un impact: quelle pilule contraceptive avez-vous pris et combien de temps, avez-vous eu plusieurs grossesses, du diabète gestationnel, de l'endométriose.... D'où l'urgence pour elles de mieux connaître leurs antécédents gynécologiques… et de les partager avec leurs médecins. "Quand je demande à une dame de 70 ans quand elle a eu ses premières règles, elle me dit "c'est loin!", avoue Claire Mounier-Véhier. Elle aime prendre cette analogie pour bien expliquer aux patientes: "le risque, c'est comme un caddie, vous y mettez vos antécédents cardiaques, gynécologiques, votre bilan actuel, poids, taille, chiffres de tension. En fonction de votre caddie, je choisis le bon examen qui va conditionner le bon de réduction qu'est l'ordonnance. Le but, c'est que vous payez le moins possible!" Car pour le moment, l'addition reste salée pour les femmes, trop souvent victimes d'infarctus. Lire aussi> Prévention: pourquoi vous aurez le droit à trois consultations médicales gratuites à 25, 45 et 65 ans? POURQUOI LES FEMMES SONT-ELLES MOINS BIEN TRAITÉES? Une fois le diagnostic posé, le traitement trouvé, elles ne sont pas encore tirées d'affaire… "Les sutures sont plus compliquées, les pontages, la greffe cardiaque aussi, parce que les artères sont plus fines, explique Claire Mounier-Vehier. Au départ, les outils étaient dimensionnés pour les hommes. Mais avec l'augmentation du nombre de femmes victimes de crises cardiaques, il a fallu adapter notamment les stents, ces minuscules tubes expansibles qui maintiennent l'artère ouverte et qu'on implante lors d'un pontage. "La miniaturisation s'est faite", assure la cardiologue. "Les registres épidémiologiques montrent qu'elles n'ont pas la même ordonnance que les hommes pour une même pathologie, ce n'est pas normal. On est plus exigeant sur les contraintes qu'on donne aux hommes!" La faute aussi aux patientes, qui vont avoir du mal à suivre un traitement quand il n'est pas bien dosé. "Beaucoup de femmes ne viennent pas en rééducation, or c'est le moment où on réajuste le traitement", insiste-t-elle. Avec deux risques: soit elles vont arrêter d'elles-mêmes certains médicaments parce qu'il provoque des effets secondaires, soit elles suivent leur traitement à la lettre, mais il est sous-dosé. Lire aussi> Protéger le coeur des femmes, parlons-en! POURQUOI MEURENT-ELLES DAVANTAGE QUE LES HOMMES DE CRISE CARDIAQUE? Une étude datant de 2017 dévoilait que les femmes, un an après un infarctus, avaient plus de risques d'en mourir que les hommes. Logique à partir du moment où on sait qu'elles sont moins bien diagnostiquées, moins bien prises en charge. Et qu'elles ont adopté les mêmes (mauvaises) habitudes des hommes: tabac, sédentarité, stress… Par ailleurs, des études épidémiologiques ont prouvé que le tabac, le cholestérol, le stress, le diabète sont plus toxiques sur une artère de femme que d'homme. "Le prix à payer pour une femme qui s'expose aux facteurs de risque est plus important mais à l'inverse, modifier son hygiène de vie est plus efficace que pour un homme!, positive la médecin. Enfin, "quand une femme tombe à terre, on pense à un malaise vagal et pas à un arrêt cardiaque: les études montrent qu'elle est moins massée qu'un homme, insiste la cardiologue. Et en plus, elle a des seins!" Beaucoup de témoins n'osent donc pas déshabiller une femme et lui toucher la poitrine pour lui sauver la vie. "D'ailleurs, les mannequins sur lesquels on s'entraîne sont toujours des hommes. Alors nous, on ajoute un soutien-gorge, pour que les gens s'entrainer et n'aient plus toucher les seins d'une femme par terre." COMMENT LE CORPS MÉDICAL ÉVOLUE SUR LA QUESTION? Si ce risque cardiovasculaire important pour les femmes a du mal à s'installer dans les consciences, Claire Mounier-Véhier assure que "les messages commencent à passer tout doucement. Tous les soignants n'ont pas encore le déclic de penser aux maladies cardiovasculaires pour les femmes. Mais les plus jeunes sont plus sensibilisés à cette approche genrée de la médecine." Certains médecins lui ont assuré que grâce à ses vidéos, ils "ne regardent plus leurs patientes de la même manière". Autre avancée: le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) prévoit trois consultations gratuites pour tous les Français à 25, 45 et 65 ans. "C'est une très bonne nouvelle, la prévention commence enfin à être prise en compte", salue la cardiologue. Oihana Gabriel Journaliste depuis une quinzaine d’années, elle a rejoint l’équipe du site de Notre Temps en 2022. Elle écrit notamment sur les maladies méconnues ou mal connues, les innovations en médecine et vous propose des conseils pratiques pour prendre soin de vous. Dans la newsletter santé qu’elle envoie tous les lundi, Oihana s’intéresse aussi aux questions posées par les lecteurs en matière de santé. Elle s’intéresse aussi aux questions de société, dans lesquelles elle aime introduire de la nuance… et esquisser des solutions. * Arrêt cardiaque: les gestes qui sauvent! * Santé des femmes: coeur, cancers, sexualité, comment mieux prendre soin de vous J'écris un commentaire LES + LUS 1. Pension de réversion: pendant combien d'années faut-il avoir été marié pour y avoir droit? 2. Carrière longue: combien de trimestres pour partir à la retraite? 3. Comment est calculée une prime de départ à la retraite? 4. Je n'ai jamais travaillé, à quelle retraite ai-je droit? 5. Pension de réversion du régime général: les ressources à ne pas dépasser pour la toucher en 2024 Avec la newsletter ne ratez rien de l'actualité Retraite | Santé | Droit | Loisirs | Argent Je m'inscris Gratuit et sans engagement Commentaires * 29/10/2022 07:50 Répondre Gux Bien souvent dans des articles similaires, vous oubliez le mal de tête pressé dans un étau : c'est le signe d'une hémorragie cérébrale qui est aussi un AVC. C'est ce qui est arrivé à ma femme le 10 novembre 1998 à 5.00 du matin = médecin, hôpital de proximité, élico, CHU, 1 mois d'hopitalisation et zéro séquelles. * 18/10/2022 08:50 Répondre Françoise Un symptôme d'infarctus que je n'ai pas lu : douleur au sternum la veille et le matin au réveil alors ce matin-là direction vers les urgences et prise en charge pour pose de 4 stents. Votre commentaire: Noter l'article: Pseudo*: Envoyez votre commentaire Sur le même sujet Les femmes face aux maladies du coeur Protéger le cœur des femmes, parlons-en! 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